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il y a 3 ans
Etre la fille du seigneur, me permettait de vivre sereinement dans notre château. Les gueux ne se risquaient pas à m’ennuyer quand, en toute insouciance, je jouais dehors. Au contraire, ils baissaient les yeux à mon passage pour ne pas avoir d’ennuis. Espiègle de nature, lorsqu’un gueux se retrouvait au pilori, je prenais plaisir à aller agrémenter son calvaire en lui jetant des légumes pourris.
C’est avec l’un d’eux que j’ai découvert ce qu’il y a dans les culottes des garçons. Pour m’amuser, à ses dépends, j’ai eu l’idée de défaire ses frusques pour mettre ses fesses à l’air. Il m’avait suppliée, je pense que c’était plus par peur des représailles possibles de mon père que par pudeur. Pour avoir osé me contrarier, j’ai pris une branche et je l’ai fessé. Je trouvais cela amusant de voir son sexe se balancer quand je frappais ses cuisses ou ses reins. Et puis il m’est venue l’idée de le fesser avec la main comme ma mère l’avait fait avec moi, avant de mourir des fièvres.
C’est le curé qui m’arracha à mes jeux malgré toutes mes menaces. Conduite à mon père, j’étais convaincue qu’il allait le condamner au bûché. Il n’en fut rien, j’ai été enfermée dans ma chambre après m’être faite réprimander. Père m’avait expliquée à grands coups de voix, qu’une femme n’a pas à toucher les fesses d’un homme et encore moins d’un gueux. Le lendemain, le pilori était vide, alors j’ai continué mes recherches sur le contenu des pantalons en allant taquiner le fils du forgeron. Lui ne s’en est pas offusqué, il a même bien aimé sauf quand le curé nous a surpris. Le mal était fait, j’avais envie de jouer avec le contenu de la culotte des hommes. Cela ne fut plus possible à partir de ce jour là, j’étais suivie par le curé ou un de ses sous-fifres dès que je sortais de ma chambre.
Un mois plus tard, lors d’une fête organisée au château, mon père demanda le silence et annonça que ce banquet était organisé pour fêter mes fiançailles avec François de Pontbriand, le chambellan de François Ier et seigneur de la Villatte.
Ma géante colère fut vite calmée par le regard de mon père. A peine étais-je devenue femme avec des menstrues, qu’il comptait se débarrasser de moi. Le François bavant rien qu’à regarder la jeune fille à croquer, ne tarissait pas de compliment à mon égard. Le pire est que mon père, assis à côté de moi, me broyait la main pour que je remercie celui qu’il me désignait comme mari. Un bon parti d’après lui et qui plus est, arrangerait bien les finances un peu en berne de son propre château.
Père ne céda ni à ma colère, ni à mes suppliques, je fus mariée malgré moi la semaine suivante. Après ce mariage organisé en grandes pompes, je fus « logée » sans consentement dans un carrosse. François de Pontbriand pensa que mes larmes étaient dues au chagrin de quitter mon père. Il me rassura en me disant que nous pourrions revenir le voir. Ce n’est pas la rupture familiale qui me traumatisait, c’était que j’allais devoir coucher avec ce vieux que je trouvais repoussant. Rien que le bisou que j’ai du faire lors de la cérémonie du mariage, m’avait traumatisée.
Arrivé en son château, il me fit l’étalage de ses richesses avant de me conduire à ma chambre. Celle-ci était aménagée à côté de la sienne, de façon à ce que je puisse le rejoindre le soir après le souper. Un banquet fut organisé pour fêter mon arrivée. Moi, j’ai tout fait pour essayer de retarder la profanation de mon corps par ce vieux. Hélas, c’est sous les applaudissements que nous avons quitté la table, main dans la main. La petite jeune n’en menait pas large à côté du grand François, envié par tous les hommes présents. Il faut dire que je suis plutôt mignonne et qu’avec mes yeux bleus, je ne passe pas inaperçue.
Arrivés dans la chambre, le mari voulu consommer sa promise peu motivée. Le vieux imagina que c’était la peur de perdre ma virginité. Si ce n’était pas faux, ce qui me traumatisait c’était d’être dans ses bras.
Tremblante de la tête aux pieds, je me suis couchée vêtue de ma robe de nuit sous les grandes couvertures. Le François ne tarda pas à m’y rejoindre et à se jeter sur moi pour me dire tout son amour, et surtout son envie de ..... Il commença par me croquer le cou qu’il baisa longuement. Sa barbe et sa moustache me faisaient des chatouilles. Puis il s’attaqua à mon visage qui fut mangé de bisous pendant que ses paluches ridées caressaient mon corps sans défense, puisque écrasé par le sien.
Il ne s’encombra pas à retirer ma robe de nuit, il la déchira avant de se mettre à téter mes seins comme s’il avait faim. Le bougre savait y faire pour obtenir ce qu’il voulait. Entres ses dents sur mes tétines et ses chatouilles, mes jambes agitées se sont écartées bien malgré moi.
Il s’y engouffra et ne me permit plus de les resserrer. Ma culotte subit le même sort que ma robe de nuit, et là, il se mit à embrasser mon ventre puis, en poussant des grognements de plaisir là où je fais pipi.
Etre léchée à cet endroit n’est pas déplaisant, quand l’homme vous plait ! Là, j’avais plus l’impression d’être léchée par un chien qu’autre chose. Le mâle en rut ne tarda pas à remonter sur moi, à prendre ma bouche avec la sienne et à fouiller mon sexe avec le sien. J’avais beau résister, serrer les jambes contre les siennes, rien n’y fit. Il parvint à ses fins en me faisant mal.
Ma virginité perdue, au bout d’un moment, j’ai du finir par me décontracter du con, la chose n’était plus si désagréable, bien au contraire.
- Je vois que ma princesse commence à m’aimer ! M’a dit François avant de reprendre ma bouche.
Le vieux sauvage repoussa les couvertures et draps, me fit lever les jambes pour mieux me posséder. J’ai effectivement été aussi possédée, par des sensations jusque là inconnues. Avoir un mari pouvait donner un plaisir qui fait tourner la tête et donne chaud.
Sa langue fourrait ma bouche de plus en plus vite, en même temps qu’il s’agitait en moi, en triturant mes tétines. A ce moment là, j’ai perdu la tête. Je me suis donnée en plein en remontant moi-même les jambes plus haut, jusqu’au moment où mon corps m’a échappé. Il devenait incontrôlable, je criais, je tremblais de partout.
La nuit fut courte, il revient à la charge plusieurs fois au point de s’épuiser à s’endormir sur moi. C’est ainsi que François de Pontbriand, chambellan de François Ier et seigneur de la Villatte fit de moi « une vraie femme ».
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Le lendemain, les draps tachés furent changés par les femmes de chambre bienveillantes, pendant que je prenais mon petit déjeuner dans ma chambre. Je repensais en trempant mon pain dans le lait chaud, aux horreurs et plaisirs de cette nuit nuptiale. Si l’homme ne me plaisait pas, son lit finalement ne me déplaisait pas.
Le soir même, après le souper, François m’instruisit sur l’amour et la maternité. Pour ne pas que je sois grosse tout de suite, il fallait que l’on prenne le petit chemin. Je ne parvenais pas à comprendre. Il m’avait prise pour femme en disant que je lui donnerai un bel héritier, et en même temps, il ne voulait pas que je sois grosse. Ses explications furent simples, il le voulait mais pas tout de suite pour me protéger. D’après-lui, je devais encore grandir et prendre des f o r c e s pour être en capacité de lui donner des héritiers.
Le soir même, il m’imposa de relever ma robe de nuit et de me coucher sur le ventre au-dessus d’une pile de coussin. Le François se mit à me lécher entre les fesses qui malaxa comme de la pâte à pain !!!! Cela me perturba grandement, pour moi, cet endroit est plutôt nauséabond. En plus, qu’un seigneur fasse ce genre de chose, me paraissait inadéquat. J’allais découvrir bien plus tard qu’il adorait ça.
Après la dégustation approfondie de mon coin des « toilettes », il y mit de la graisse de canard pour y introduire un doigt puis deux. (Le lubrifiant n’existait pas à cette époque) Mes cris et suppliques ne changèrent rien à ses intentions de m’ouvrir le trou voisin du « conin ».
Ce n’est que lorsqu’il s’allongea sur moi que je compris ses intentions. A grands cris, il prit le passage qu’il qualifia de « véritables fortifications » tant on lui résistait. La perte de deux pucelages en deux nuits, fut malgré tout assez difficile à vivre et surtout douloureuse. Encore une fois, le François me fit perdre la tête en me tournant dans tous les sens. Il prit mon devant comme un fou avant de venir finir sa courses dans mon derrière. Mon devant ayant bien « chauffé », mon derrière déjà préparé à avoir de la visite, au deuxième passage ce fut nettement moins douloureux. Une fois bien logé, les mouvements de la chose des hommes en cet endroit est finalement très bon.
A nouveau possédée par le démon, mon corps m’a échappé, pendant que le François me mangeait la bouche.
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Pendant une quinzaine de jours, tous les soirs ce fut la fête à la « princesse ». Je commençais à m’y habituer, jouir tous les soirs n’est quand même pas si mal que ça, même si l’instrument semble passé de date.
Le reste du temps, j’étais presque libre de faire ce qu’il me plaisait. Je commandais, on s’exécutait, encore mieux que chez mon père.
Un matin, le François m’indiqua devoir partir pour les affaires du royaume. Cela m’attrista presque. Ce qui me surprit, c’est qu’il me posa une sorte de culotte en fer avec un cadenas. « C’est pour te protéger en mon absence » me dit il en mettant la clé dans sa poche.
Dix jours d’absence, dix jours de calvaire. Aller à la selle était compliqué, dégoûtant, marcher finissait par me faire mal et des « chaleurs » autour de la taille. Mais ces désagréments n’étaient pas le pire de la situation. J’avais le feu au conin. C’était comme si j’avais envie de sexe en permanence. Mes tétines pointaient toutes seules et appelaient à la caresse tout comme entre mes jambes. Je devenais folle et en manque.
A son retour, mon mari préféra se reposer après son voyage et me laissa dans ma chambre. Lorsque je lui avais demandé de me retirer la culotte en fer, servant donc de ceinture de chasteté, il avait refusé en disant « demain ».
Et le lendemain, mes femmes de chambre refusèrent de me donner de quoi prendre mon bain. Elle m’indiquèrent que c’était à la demande du seigneur des lieux, en clair mon mari. Il me fit appeler et put constater sous mon avalanche de reproches, qu’il n’était pas sourd.
Sûrement lassé par mes cris, il me retira la culotte en fer. (C’est ce que j’ai pensé aussi)
A peine fut-elle à mes pieds que je fus couchée sur ses genoux pour une sévère fessée me faisant regretter, la culotte en fer. Cette fessée fut accompagnée d’explications. « on ne lui parle pas sur ce ton, sans prendre de risque ». Pendant qu’il claquait mon séant, il criait que je sentais la gueuse bien faisandée et qu’il allait se « gaver ».
Je ne compris le sens de « se gaver » que lorsqu’il me jeta sur le lit pour dévorer mon conin odorant. A la suite de quoi, il m’invita délicatement à écarter les jambes pour combler son retard. Selon sa tradition, mon devant fut investi un certain temps avant de passer à mon derrière pour la baveuse conclusion. Après l’avoir détesté, ce matin là, je l’ai aimé. Cette fessée m’avait troublée et pendant qu’il possédait sa femme, elle jouissait à répétition de partout.
Il en déduit à mes étreintes et aux mots que je ne devrai jamais dire au curé, que j’étais comme les oeufs de l’omelette, meilleure bien battue !
Epilogue,
François de Pontbriand eut le mauvais goût de mourir le 11 septembre. Pas dans les tours jumelles qui n’existaient pas encore puisque c’était en 1521 et en France.
Fin
TSM
Note de l’auteur : il n’y a qu’un peu de distorsions historiques dans cette histoire.
Selon le Ministère des Affaires Étrangères, en 2016 encore, c’est plus de 70,000 filles vivant sur le sol français et mineures qui vivent un mariage forcé, c’est chiffre énorme qui prouvent que les mentalités peuvent avoir la dent dure face à l’évolution de notre société.
Cliquez ici pour en savoir plus sur François de Pontbriand
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